Deepseek, une intelligence artificielle d’origine chinoise, suscite des interrogations quant à ses biais intrinsèques. Olivier Lascar, auteur de « Deep Fake, l’IA au service du faux », affirme que la dominance d’un acteur sur le marché mondial peut influencer de manière significative les perceptions globales. Ce phénomène soulève des préoccupations sur l’imposition de biais culturels sur une échelle internationale.
Une avancée majeure
D’après Lascar, l’IA se distingue par son approche open source, une caractéristique essentielle qui la rend accessible et modifiable par les développeurs du monde entier. Cette ouverture permet aux programmeurs de personnaliser et d’adapter Deepseek à diverses applications, y compris dans des environnements professionnels. L’auteur compare l’impact de Deepseek à un « moment Spoutnik », signifiant une avancée technologique qui surpasse ChatGPT. Cette innovation se distingue par son développement à un coût remarquablement bas, marquant un tournant significatif dans le domaine de l’intelligence artificielle.
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Pour découvrir l’intégralité de l’analyse d’Olivier Lascar, consultez la vidéo ci-dessus.
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